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    A l'occasion de l'exposition "Urban Poetic" présentant des œuvres de CharlElie Couture, j'ai découvert le lieu, il était temps...

     

    Un lieu pour l'art contemporain à Valence : la Villa Balthazar

    La salle du haut

    Galerie d'art, lieu d'exposition, maison d'artistes au service de l'art contemporain. 

    http://www.lavillabalthazar.fr

     

    L'exposition se terminait, mais j'ai pu tout de même découvrir le travail pictural de CharlElie Couture, artiste multi talents,

    Un lieu pour l'art contemporain à Valence : la Villa Balthazar

    extrait de la vidéo

     

    Au centre, l'homme et la ville. De l'homme il ne reste souvent que la silhouette, jamais vide, de la ville, des fragments photographiés, les ombres et les lumières, la couleur aussi au milieu du noir. Entre photographie et peinture, une vision personnelle du monde contemporain.

    Le site de l'artiste : http://www.charlelie.com/

     

    Mais c'est certain, je retournerai dans ce lieu...

     

     


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  • Pourquoi ce besoin quasi vital de photographier qui m'habite ?

    Tenter de saisir une suite d'instants, d'en figer un peu de mémoire, tout en sachant que les photographies finissent par déformer cette réalité volée ?

    Ne pas faire confiance en sa mémoire à vouloir lui trouver des substituts qui seraient, eux, infaillibles, vraiment réels ?

     

     Ainsi, lors de la balade d'hier à Saint Peray, j'ai photographié une petite sculpture dans un pilier, un petit bonhomme songeur qui semble regarder passer les promeneurs. Il se présente ainsi lorsqu'on passe sur la route :

     

    Photographier = fixer le réel, ou n'en garder qu'une vision ?

     

     

      

     

     

     

     

     

    Or, tout en marchant, j'ai remarqué qu'il était plus intéressant de profil et j'ai pris plusieurs photos sous cet angle, dont celle-ci

     

    Photographier = fixer le réel, ou n'en garder qu'une vision ? 

     

     

     

     

     

     

     

    C'est celle que j'ai retenue dans mon article sur la balade ICI.

     

     

     

     

     

     

    Si je n'avais pas pris la première photo, combien de temps aurais gardé en mémoire la position et l'allure de ce petit bonhomme ? J'ai voulu conserver ma vision de cette statue, et c'est bien celle-ci qui prévaudra au fil des mois, des années, si je me souviens encore de cette statue. Mais je gage que ces photos m'y aideront. N'est-ce pas l'essentiel ? Et aurais-je oublié les autres sculptures, celles que je n'ai pas photographiées ?

     

    Donc, pour répondre à ma première question, je trouve ici une première piste : il s'agit bien de garder la mémoire d'une vision, souvent très éphémère.


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  • Des pommes, des poires...

     

    et un kaki, des fruits que j'ai souvent peints, ici sur des toiles détruites ou données... Bref, que je n'ai plus qu'en photographie.


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    colliers longs

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  • Second essai de photographie à la manière de la Nature Morte, série initiée ICI,

    "A la manière de"... la Nature Morte - A la manière de Georgio Morandi

     

    Il ne s'agit pas d'une vraie composition car la photographie a été prise au musée de Valence, dans la salle des "modernes" drômois.

    Giorgio Morandi est un peintre et un graveur dont j'aime beaucoup l’œuvre dans son ensemble, autour de l'objet dans sa plus simple simplicité,

     

    "A la manière de"... la Nature Morte - A la manière de Georgio Morandi

    Je n'ai recherché que l'ambiance et pas du tout à restituer l'aspect peinture.

    Série hors exposition, (voir ICI  et ICI) car débutée trop tard pour travailler vraiment à fond des compositions. Déjà nous commençons à travailler le thème de l'an prochain...

    Mais bon, je garde un peu du mystère.


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