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Les sculptures vivantes d'Ernest Pignon Ernest
Les arborigènes - 1989 - art.moderne
J'ai vraiment découvert cet artiste majeur de notre époque avec un reportage sur cette installation au Jardin des Plantes de Paris.
"En réalisant, « Les arbrorigènes« , en 1989, il avait réussi à incarner la métamorphose de Daphné dans la mythologie. Ses moulages de corps féminins, en mousse souple, contenaient des micro-algues destinées à participer à la photosynthèse, à fusionner véritablement avec les arbres, et à se végétaliser progressivement."
J'avais été fascinée par le processus de création et l'originalité de la démarche de l'artiste, avec ces scultpures qui devenaient plante, arbre, avant de disparaître.
Depuis, j'ai pu visiter plusieurs de ses expositions et voir récemment un autre reportage sur ses collages, si impliqués dans la volonté de marquer la mémoire.
Notamment celui de Pasolini,
https://www.radar.st/archives/art/ernest-pignon-ernest
"La rue est sa toile" Arte
Un retour sur son œuvre majeure qui a fait de lui un pionnier de l'art urbain. Avec au départ le dessin.
Rimbaud 1978 - Ecce Homo - Avignon 2019 Gazette Drouot
Quand je pense que je l'ai croisé, lors de l'exposition à Avignon "Extases" , celle de 2008, et que ma timidité a fait que je n'ai pu lui dire que "bonjour"... No comment !
Tags : Art contemporain, Avignon, Expositions, Personnalités, Sculpture
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Commentaires
Je ne connaissais pas , c'est une belle incitation à le découvrir plus avant!
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Jeudi 21 Juillet 2022 à 08:36
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Pour les aborigènes, ça me dit quelque chose.
Au château du Pourtalès, à Strasbourg, il y en a quelques uns.
Et avec toi, j'apprends qu'il y en a à Paris, et que ça contient des micro-algues, pour la fusion avec la photosynthèse.
Au sol, il y a de grandes oreilles, peut être d'un autre artiste.
Amic@lement. Yann
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Vendredi 5 Août 2022 à 10:35
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J'adore, dommage que tu aies hésité, j'aurais fait comme toi pour le regretter ensuite!
Merci pour cet article!
Bonne journée
Bisous
Ensuite, il est trop tard. Si c'était aujourd'hui, alors que j'ai pris un peu plus de confiance en moi, je ne sais pas si j'oserais malgré tout lui parler.