Hier à Romans sur Isère

 

C'est vrai que toute la ville est en travaux  (juste derrière), pas facile pour le commerce.

Pour le clic clac avec Martine/Tortue sur son blog,

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Lilou nous a proposé d'entrer dans l'univers de Berthe Morisot. Un univers si riche qu'il est difficile de choisir. J'ai donc choisi d'y entrer au feeling et j'avoue que je craque pour ses portraits, toutes périodes confondues. Elle a beaucoup représenté les membres de sa famille, mais j'ai choisi le   portrait de Louise, la fille du peintre Léon Riesener

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Portrait de Louise Riesener - 1881 

 Musée Marmotant Monet

                                                             et sanscrierart

un même tableau, deux rendus 

 

Berthe Morisot, en plus de ses qualités de coloriste, affiche une grande légèreté de touche dans ses portraits, particulièrement dans celui-ci. Ce qui, aujourd'hui, nous semble si évident, ne l'était pas de son temps.

Si vous désirez en savoir plus sur cette artiste : wikipedia

 

 Pour le tableau du samedi

 vos participations : le "berceau" a eu beaucoup de succès

Amande Douce  : Lucie Léon au piano

CovixLyon : les roses trémières

Jazzy : femme et enfant au balcon 

Kimkat : jeune fille au chat

Lilou Soleil  : bon rétablissement

Marie des Vignes :  2 tableaux dont la cueillette des cerises

Mireille29 : le berceau et le cerisier

Monica-Breiz : la psyché

Pulsatilla  ??

Tortue : le berceau

Zazarambette : le berceau

 

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 G

Emmanuel Georges sculpte le raphia qui a servi à attacher les ceps et les branches de la vigne,

et Jean-François Auber, lui amalgame les feuilles de papier pour ensuite les sculpter comme du bois,  F

les deux se répondent dans cette exposition  à la Médiathèque de Valence, jusqu'à demain 19 novembre,

 

 

 

Pour le clic clac du vendredi avec Martine/Tortue sur son blog

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Pour les 19 et 26 novembre Lilou nous propose comme thème pour le tableau du samedi de parcourir l'univers des tableaux de :

 

BERTHE MORISOT

 

 

son portrait par Édouard Manet  .moreeuw.com

 

Lilou nous dit que c'est son peintre préféré, je pense que cela fait aussi très plaisir à beaucoup d'entre nous.

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Au XVe siècle l'amour courtois a vécu ses plus belles heures et s'il n'est plus l'apanage des chevaliers, il en devient plus prosaïque et se fait plus empressé auprès des belles dames.

 

Boccaccio, Livre des cleres et nobles femmes, BnF, MS Français 12420, fol93r, c. 1401  (*)

cottesimple.com/

Christine de Pisan est ici comparée à la courtisane grecque Léonce, pour avoir critiqué Jean de Meung. 

"L'époque de Christine de Pisan sonne la fin de la littérature courtoise, lorsque Jean de Meung reprend le Roman de la Rose, nous sommes loin de Guillaume de Lorris, dernier vrai représentant de cette tradition courtoise. Le ton est plus désenchanté, dogmatique. Fini le temps où la femme était la Dame, symbole de la perfection et de toutes les aspirations les plus nobles." Dits de Fardoise

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Pour le tableau du samedi sur le thème de l'amour courtois :

 

Le samedi, on présente un tableau en quelques mots en disant pourquoi il nous plaît ou nous émeut, ou nous trouble.

Deux mots sur le peintre, et on partage. Et voilà! 

 

Vos participations cette semaine :

Amande Douce  : John Everett Millais et Florence Eleanor Fortescue Brickdale

CovixLyon  :  Utamaro Kitagawa

Jazzy  :  Tristan et Yseult de Salvador Dali

Kimkat  : Lovecats  Mary Stubberfield

Lilou Soleil  :  La balançoire auteur  inconnu

Marie des Vignes - couple, auteur inconnu

Monica-Breiz  : Walter Crane - la belle Dame sans merci

Pulsatilla  ???

Tortue  :  Auguste Toulmouche "Le baiser"

Zazarambette  : « La Belle Dame sans Merci » de Sir Francis Bernard Dicksee

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Miniature extraite du Codex Manesse (début du XIVe siècle), illustrant l'amour courtois. L'amant Robin utilise symboliquement une arbalète pour envoyer un message d'amour à sa dame. (Université de Heidelberg.) Wikimedia

 

Ce n'est pas un hasard si les miniatures du Codex Manesse illustrent très souvent l'amour courtois, car il s'agit du plus grand recueil de poèmes illustrés, connus, du Minnesang allemand, héritier de la poésie initiée par les Troubadours dès le XIe siècle, qui a essaimé ensuite chez les Trouvères puis les Minnesinger allemands. On y retrouve le chevalier et sa belle, l'amour inaccessible (l'amour de loin),  le fin'amor, comme le chantait Raimbaut de Vaqueiras  (ICI)

 

Wikipedia

Un autre poème, en musique sur Youtube ... par un groupe japonnais !

 

Le codex Manesse ( Wikipedia ) et ses belles illustrations (Wikimedia)  

Amande nous présente celle qui illustre le mieux l'amour courtois et la plus utilisée (il n'y a pas de hasard), qui montre le chasseur piégé par l'amour.

Lilou, ce mois ci nous a entraîné sur la piste de l'amour courtois pour le Tableau du samedi.

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Lilou nous propose pour ce début du mois  de novembre un thème réjouissant :

"Après toute cette débauche de Nus, il faut bien se rafraîchir les idées et je vous propose

« l’amour courtois.  »

Thème pour les samedi 5 novembre et 12 novembre."

 

 

Le livre du Cœur d'amour épris, manuscrit français du 15ème siècle (source Gallica)

diacritiques.blogspot.com

 

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Margaret Evans Pregnant, 1978  MET Museum

 

Une femme nue enceinte, un sujet on ne peut plus tabou. Alice Neel le choisit à plusieurs reprises et j'ai choisi, moi,  celui qui est le moins cru, la jeune femme est radieuse, solaire.

"Margaret Evans attend des jumeaux et est enceinte de huit mois lorsqu’elle pose pour Alice Neel. La peintre la fait asseoir sur un fauteuil étroit, qui souligne la taille de son ventre, faisant de la condition de son modèle un enjeu central du tableau. Entre 1964 et 1978, dans un contexte de lutte pour l’accès à la contraception et à l’avortement, et pour l’émancipation des femmes, Alice Neel peint à sept reprises des femmes enceintes, sans compter ses multiples portraits de femmes avec leurs enfants, parfois nourrissons." balises.bpi

Alice Neel peignait des sujets dérangeants et souvent de manière dérangeante aussi. Pourtant il y a énormément d'humanité dans sa peinture.  Est-ce cette crudité sans concessions, ou son appartenance politique qui a fait qu'elle est tombée dans l'oubli (relatif puisque plusieurs grands musées conservent des toiles d'Alice Neel), jusqu'à ces dernières années, où plusieurs musées et institutions lui consacrent des rétrospectives. En ce moment c'est le Centre Pompidou qui propose une exposition

"Alice Neel, un regard engagé"

 

Pour le Tableau du samedi sur le thème du Nu

 

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